Le click and collect s’impose comme une solution incontournable pour les commerçants désireux d’élargir leur clientèle. Heustach répond à ce besoin avec une approche économique et transparente qui séduit de nombreux professionnels dans différentes régions françaises.
La naissance du concept pendant la crise sanitaire
La crise sanitaire a rebattu les cartes pour bon nombre de commerces. Mars 2020 marque le début d’une période compliquée, durant laquelle Heustach a vu le jour. Son créateur a mis au point un système de click and collect quand les boutiques fermaient leurs portes au public. Pour les commerçants, il fallait trouver un moyen de continuer à vendre sans se ruiner en commissions. Le confinement a joué, en quelque sorte, le rôle d’accélérateur pour une solution qui manquait cruellement sur le marché.
L’idée de départ ? Couper l’herbe sous le pied des intermédiaires qui ponctionnent les marges à chaque étape. L’approche éthique du commerce défendue par Heustach permet aux clients de payer le juste prix. Quant aux producteurs, ils récupèrent enfin une part équitable du gâteau. Une évidence, en somme, mais qu’il fallait concrétiser.
Un modèle économique transparent sans abonnement
Fini les abonnements qui plombent la trésorerie des petits commerces ! Heustach a choisi un chemin différent, créant ainsi un avantage concurrentiel considérable. Seuls quelques centimes de commission viennent s’ajouter aux frais Stripe (25 centimes + 1,5 % par transaction). Ce parti pris tarifaire détonne dans un paysage où les plateformes se gavent souvent sur le dos des commerçants.
Mieux encore : quand le client règle sa commande directement en boutique, le service ne coûte pas un centime au commerçant. Autant dire que comparé à la location d’un terminal bancaire classique, les économies sautent aux yeux. Pas de frais cachés, pas de mauvaises surprises — voilà qui change la donne pour les petites structures aux marges déjà serrées.
Des bénéfices concrets pour les commerces de proximité
« Toucher une clientèle qui ne franchit jamais la porte de votre boutique », voilà ce que promet Heustach aux commerçants. En un tournemain, ils peuvent élargir la clientèle potentielle au-delà des habitués. Les restaurateurs tirent particulièrement leur épingle du jeu, car nombreux sont ceux qui préfèrent déguster un bon plat dans leur canapé plutôt qu’en salle.
La présence sur une plateforme locale joue également un rôle de vitrine numérique pour les établissements participants. L’interface vendeur, pensée pour être accessible aux moins technophiles d’entre nous, permet d’actualiser son offre en deux temps trois mouvements. Nul besoin d’être un as de l’informatique pour tenir son catalogue à jour !
Une diversité de commerces présents sur la plateforme
Ne vous y trompez pas : le click and collect n’est pas l’apanage des grandes enseignes. Sur Heustach, les magasins indépendants de toutes tailles trouvent leur place au soleil. Du petit producteur de fromages à l’artisan chocolatier, en passant par le caviste du coin, chacun peut tirer son épingle du jeu.
À titre d’exemple, l’épicerie japonaise « Autour du Yuzu » de Mâcon propose ses produits d’exception via la plateforme. Une façon intelligente de valoriser des denrées peu courantes. Dans le même esprit, des poissonneries à Feillens ont sauté le pas, tout comme certains garages automobiles — preuve que le système s’adapte à des besoins très variés.
Un fonctionnement simple qui facilite le quotidien
Commander en quelques clics et récupérer ses achats quand bon vous semble chez le vendeur local : l’idée a de quoi séduire. Pas d’attente interminable de livraison, pas de frais supplémentaires. Juste le plaisir d’échanger quelques mots avec son commerçant en récupérant sa commande, déjà prête et emballée.
La plateforme gagne du terrain. D’abord implantée en Saône-et-Loire, elle rayonne désormais sur l’Ain et continue son expansion. Les villes dynamiques comme Mâcon, Prissé, Sancé ou Feillens font figure de pionnières. Les habitants de ces communes ont désormais à portée de clic tout un écosystème de commerces locaux. Qui a dit que la proximité et le numérique ne faisaient pas bon ménage ?