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Découverte du mermaiding et des queues de sirène

On en entend de plus en plus parler, si bien qu’aujourd’hui, même sans être attiré par cette discipline, on ne peut que la connaître. Il s’agit bien évidemment du Mermaiding. Ce terme tiré du mot « mermaid » en anglais, soit « sirène » en français, signifie tout simplement «faire la sirène » ou « l’art de nager comme une sirène ».

Encore tout nouveau, ce nouveau sport à commencer à se faire connaître au alentour de 2010, mais il existait bien avant cela, tel que le démontrent certains films comme « Splash » sortie en 1984 ou encore « Hook » parue en 1991 et dans lequel on peut apercevoir trois magnifiques sirènes du pays Imaginaire.

Pour plus d’information sur le Mermaiding, mais surtout sur les queues de sirènes, je vous renvoie vers ce lien : Un Monde de Sirène.
Aujourd’hui, même si la pratique fait parfois rire, elle attire surtout le regard des curieux. En effet, pour pratiquer le Mermaiding, vous l’aurez compris, il faut se munir d’une queue de sirène ! Heureusement, depuis que la pratique de ce nouveau sport qui allie la natation, l’apnée et un peu de natation synchronisé, ne se limite plus au tournage de film, de nombreux commerçant ont vu le jour. Il est donc possible d’en trouver pour tous les goûts et tous les prix ! Silicone, néoprène ou encore simple tissu de maillot de bain. Ne vous reste plus qu’à bien choisir et pour cela, voici quelques astuces :

1.      Choisir le bon matériel pour nager comme une sirène

Comme cité plus haut, il existe surtout trois types de matériel utilisés pour créer des queues de sirène, chacune avec leurs avantages et leurs inconvénients. Par exemple, le silicone est beaucoup plus réaliste et permet d’avoir du relief (c’est celle-ci que vous verrez dans les films), mais elle est bien plus onéreuse qu’une queue de sirène en néoprène, qui est elle-même plus coûteuse qu’une queue de sirène en tissus. Cela déprendra donc de vos besoins (amateur ou professionnel) et de votre budget.

2.      Comme pour tout : faire attention à la taille de sa queue de sirène

Cela parait peut-être évident, mais c’est important d’y penser si vous souhaitez être à l’aise, aussi bien pour le costume que pour la monopalme que vous devrez obligatoirement enfiler pour nager (le contraire serait dangereux !). Par exemple, une queue de silicone sera ajustée à votre corps et donc très serré, il faudrait faire attention à prendre exactement la bonne taille. Et de manière générale, si vous choisissez une queue en tissu, mais que vous hésitez entre deux tailles, favorisez toujours la plus petite, car la manière aura tendance à se détendre.

3.      Une bonne monopalme c’est important !

Là encore il existe de nombreux modèles en fonction de votre budget et de vos attentes. Des courts, des longues, des souples, des plus rigides, réglables ou non. Une monopalme longue et rigide, vous fera aller plus vite, mais vous fatiguera plus. Une monopalme souple rendra le mouvement de votre queue de sirène bien plus réaliste, mais si elle est trop souple, vous risquez de ne pas pouvoir nager confortablement. Les plus confortables se constituent d’un socle en pastique plus ou moins rigide en fonction de la marque et d’une « chaussette » en néoprène. Elle s’enfile et se retire très facilement.

Si vous prêtez attention à tous ces points, il n’y a aucune raison que vous ne trouviez pas, vous aussi, la queue de sirène parfaite ! De plus, il existe tellement de coloris différents, que trouver celle qui vous correspond ne devrait pas être un problème. Au contraire, vous risquez d’avoir du mal à vous décider tant vous aurez de choix !

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